Lorsqu’une Diva célèbre et fraîchement veuve fait la connaissance d’un toréador auréolé de gloire, la suite peut se révéler savoureuse, surtout quand l’amour s’en mêle avec coup de foudre immédiat. Dans une mise en scène pleine de trouvailles, ce spectacle truffé de rebondissements et de quiproquos réserve quelques passes succulentes entre ces deux artistes bourrés de talent et d’imagination. Une manière iconoclaste d’aborder le classique : un petit bijou !
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Comédie Lyrique dans la Presse
Le figaro magazine
Rythmée par les plus grands airs d’opéras, d’opérettes et de comédies musicales, l’histoire revisite les grands classiques de la musique avec talent et humour. La Traviata de Verdi croise la Carmen de Bizet, Offenbach, Rossini, Mozart et Strauss sont joués sans complexe aux côtés des mélodies de Claude François, de Charles Trenet ou West Side Story. Porté par la grâce de deux superbes voix et d’un pianiste inspiré, ce spectacle rythmé, très drôle et touchant, s’adresse autant aux connaisseurs qu’aux néophytes.
Le parisien
Figaroscope
Entre eux, le coup de foudre est immédiat… et celui du public pour ces deux artistes ne l’est pas moins. Il faut dire que Raphaëlle Farman etJacques Gay possèdent un étonnant registre qui leur permet de passer de Carmen à West Side Story ou La Traviata avec une étonnante facilité. Le tout épicé de gags et de parodies désopilantes. Un pur divertissement avec des chanteurs talentueux qui jouent à fond la carte de la dérision. Spectacle capable de contenter le grand public autant que les mélomanes avertis.
Attention, Maîtres Chanteurs ! dans la Presse
LE FIGARO
« Le spectacle Attention, maîtres chanteurs ! se risque à faire chanter son public. Des fausses notes joyeuses et revigorantes.
La menace est réelle: «Ils vont vous faire chanter…», prévient le sous-titre de ce spectacle revigorant justement intitulé Attention, maîtres chanteurs! La soprano Raphaëlle Farman et le baryton Jacques Gay se sont inspirés de grands airs d’opéra comme La Traviata de Verdi, Carmen de Bizet, ou Orphée aux enfers de Jacques Offenbach pour concocter une histoire rocambolesque.
Choisi d’emblée pour faire office de chœur et vite séduit, le public suit les aventures de la famille Dugosier de la Glotte, de la préhistoire à nos jours, en passant par la Révolution au cours de laquelle la tribu perdra sa particule.
Ces personnages hauts en couleur, à l’image de leurs costumes, sont interprétés par cinq artistes professionnels. Outre les deux auteurs, Frédérique Varda (soprano colorature), Clémentine Bourgoin (soprano), Franck Cassard (ténor) et Jacques Lemaire (ténor) qui alternent des partitions aux tonalités diverses et divertissantes. Aucune fausse note chez eux, contrairement à celles de leurs choristes d’un soir!
Béotien ou mélomane, le spectateur se prend au jeu de ce karaoké, irrésistiblement emporté dans un tourbillon de folie joyeuse et contagieuse. Il a également droit à une parodie désopilante de Belle, le tube de Garou, ou à un Temps des cerises, interprété de façon mélancolique. Mâtinés de clins d’œil coquins, dont la prise d’un lion en peluche par un gladiateur téméraire.
Fantaisie musicale
Complice avec le public, un pianiste comédien, Jérôme Boudin-Clauzel (en alternance avec Fabrice Coccitto) accompagne la troupe avec une malice non dissimulée. En accord avec la mise en scène burlesque de Fabien Ruiz, le chorégraphe de The Artist , le film de Michel Hazanavicius. La même compagnie, Opéra en fête, est à l’origine des Aventures de la diva et du toréador. Autre fantaisie musicale qui avait tenu trois ans à l’affiche. »
FIGAROSCOPE
« Raphaëlle Farman (soprano) et Jacques Gay (baryton) ont écrit un spectacle à partir d’opéras, d’opérettes et de « tubes » comme Belle de Garou. Leur historiette burlesque sur la famille Dugosier de la Glotte qui traverse les époques en chantant, met le public en joie. D’autant que celui-ci est sollicité pour pousser la chansonnette. Accompagné par un pianiste complice (ce soir-là Jérôme Boudin Clauzel dans le rôle du fiston Dugosier de la Glotte), la salle s’égosille, s’esclaffe, s’émerveille – les chanteurs sont tous des professionnels – et rit enfin à gorge déployée. Un spectacle original, brillant, parfois joliment coquin et qui, surtout, donne une pêche du tonnerre. »
Nathalie Simon
RADIO SUISSE ROMANDE, Espace 2
« Cette première saison constituée de trois spectacles (La Belle Hélène, La Diva et le Toréador, Attention, Maîtres Chanteurs ! ) à eu un énorme succès au théâtre de l’Alhambra (…). L’originalité de la mise en scène, la qualité des chanteurs, tous de renommée internationale, la beauté des costumes, l’humour souvent hilarant mais toujours de bon goût, ont conquis le public Genevois pourtant réputé froid. (…) Il fallait voir la salle entière pleine à craquer, chanter avec les artistes tous les airs lyriques célèbres, de Carmen à Nabucco en passant par West Side Story ou La Veuve Joyeuse pour comprendre que les deux créateurs de la saison Raphaëlle Farman et Jacques Gay ont réussi leur pari de faire goûter l’art lyrique au plus grand nombre. (…) On attend impatiemment qu’ils reviennent l’année prochaine ».
Le Figaro
« Raphaëlle Farman et Jacques Gay entrainent le public dans un tourbillon joyeux où s’entremêlent opéras, opérettes et jeux de théâtre. »
Fabienne Rappeneau
FIGAROSCOPE
« C’est un bonheur pour nous que de faire l’école buissonnière avec la famille Dugosier de la Glotte. »
Jean-Luc Jeanner
Le Figaro
Gay-Farman : le lyrique à Montmartre
« Reprenant une tradition de Montmartre, Jacques Gay et Raphaëlle Farman font chanter le public aux Deux ânes dans Attention Maîtres Chanteurs ! »
Jacques Pessis
VISIOSCÈNE
« A voir absolument !!! »
POLITIQUE MAGAZINE
« Foisonnant de trouvailles »
REG’ARTS
« N’hésitez pas une seconde, courez-y ! »
LE TOP NUMERO 1 : LE GUIDE DE VOS SORTIES
« Les prestations vocales sont impressionnantes. Les spectateurs se régalent.»
FORUM OPERA
« Excellents chanteurs lyriques. Mise en scène endiablée. Courez-vous ressourcer à la fontaine hilarante des Dugosier de la Glotte ! »
ARCHITECTURAL DIGEST
« Le cadeau de Noël idéal: hilarant ! ».
FIRST CLASS
« Rires non-stop ».
FROGGY’S DELIGHT
« Ces Maitres chanteurs sont partis pour la gloire. Follement jubilatoire »
L’EXTENSION
« Conçues et interprétées par ce duo de chanteurs qui jouent de leur voix comme de leur sens de la dérision, les trois productions de cette première saison mettent à l’épreuve la célèbre formule d’Antoine Vitez : « l’élitisme pour tous ». Ici, il s’agit de faire accéder un large public à l’univers d’Offenbach, comme à celui de Verdi, Rossini, Bizet, Mozart, Strauss, et bien d’autres. Leur méthode ? Une mise en scène légère et rythmée, une équipe intergénérationnelle de comédiens et chanteurs de renom et l’usage permanent de l’effet de surprise. (…) .
Après la réussite de leur Belle Hélène désopilante et décalée, puis La Diva et le Toréador qui avait déjà triomphé en Suisse il y a deux ans, Raphaëlle Farman et Jacques Gay ont décidé de clore la saison, avec un spectacle très original et interactif Attention, Maîtres Chanteurs ! (…) .
Voilà le théâtre converti en immense karaoké lyrique pour interpréter, avec l’aide des solistes et des écrans géants, les plus grands « tubes » du répertoire d’opéra, d’opérette et de comédie musicale. Et le plus fort, c’est que ça marche ! D’emblée, les artistes nous emportent dans un tourbillon d’airs célèbres auxquels nous n’avons pas pu résister (…) Le public chantait tous les airs du répertoire, et ce, pendant plus d’une heure et demi. Du jamais vu à Genève ! »
La belle Hélène… n’était pas une poire ! dans la Presse
ResMusica.ch
La soprano Raphaëlle Farman est une héroïne désirable. Sa présence scénique et son timbre brillant en font une des plus belle Hélène que l’on ait vue et entendue depuis des années.
La voix sonore et bien timbrée de Jacques Gay dans Agamemnon ne se trouve jamais prise en défaut même lorsqu’il s’agit de quitter la voix chantée pour la voix parlée. Outre le chanteur, l’acteur est excellent (…). Cette production est un régal de drôlerie, avec une mise en scène enjouée et pétillante. Ce qui ressort de ce spectacle, c’est l’entrain, la joie d’être, celle de divertir. Souvent désopilants, les gags se succèdent avec un rythme soutenu. Les spectateurs de l’Alhambra ne s’y sont pas trompés en réservant un triomphe à ce spectacle qui s’est joué toute la semaine à guichets fermés.
LA TRIBUNE DE GENEVE
Opérette, Grèce antique de pacotille, airs accrocheurs, situations burlesques, voire coquines… L’un des chefs-d’œuvre d’Offenbach, l’opéra-bouffe La Belle Hélène, a fait une halte à Genève, dans une production signée Opéra en fête. Cette compagnie, dirigée par les chanteurs Raphaëlle Farman(soprano) et Jacques Gay (baryton), n’a pas son pareil pour faire rimer art lyrique et soirée comique… Et en effet, le comique était au rendez-vous ! (…) Le plateau de solistes était remarquable avec en particulier une magnifique Hélène interprétée par Raphaëlle Farman dont la voix sert superbement ce rôle si riche. Jacques Gay dans le rôle d’Agamemnon et Franck Cassard dans celui du malheureux roi Ménélas rivalisaient de drôlerie (…).
Les deux metteurs en scène (Raphaëlle Farman et Jacques Gay) ont réussi à faire jouer, danser et chanter les chœurs de Vernier avec énormément de talent. A noter, l’excellent ensemble orchestral constitué de membres de l’Opéra de Genève et de l’Orchestre de la Suisse Romande sous la direction précise de Franz Josefovski.
RADIO SUISSE ROMANDE, Espace 2
« Cette première saison constituée de trois spectacles (La Belle Hélène, La Diva et le Toréador,Attention, Maîtres Chanteurs !) à eu un énorme succès au théâtre de l’Alhambra (…). L’originalité de la mise en scène, la qualité des chanteurs, tous de renommée internationale, la beauté des costumes, l’humour souvent hilarant mais toujours de bon goût, ont conquis le public Genevois pourtant réputé froid. (…) Il fallait voir la salle entière pleine à craquer, chanter avec les artistes tous les airs lyriques célèbres, de Carmen à Nabucco en passant par West Side Story ou La Veuve Joyeuse pour comprendre que les deux créateurs de la saison Raphaëlle Farman et Jacques Gayont réussi leur pari de faire goûter l’art lyrique au plus grand nombre. (…) On attend impatiemment qu’ils reviennent l’année prochaine ».
La Diva et le Toréador dans la Presse
TÉLÉRAMA
La verve joyeuse
« Quand une Diva rencontre un toréador, cela donne une drolatique histoire d’amour ponctuée d’airs célèbres allant de Verdi à Offenbach, de Rossini à Bizet. Couple à la ville comme à la scène, Raphaëlle Farman et Jacques Gay font de l’art lyrique un spectacle pétillant et atypique. A voir absolument ! ».
FÉMINA
L’amour enfant de bohème
« On a aimé le talent très punchy des interprètes, Raphaëlle Farman et Jacques Gay, le brio du pianiste ainsi que l’humour au second degré des protagonistes, le rythme endiablé et la bonne humeur contagieuse ».
LE FIGARO MAGAZINE
« Rythmée par les plus grands airs d’opéras, d’opérettes et de comédies musicales, l’histoire revisite les grands classiques de la musique avec talent et humour. La Traviata de Verdi croise la Carmen de Bizet, Offenbach, Rossini, Mozart et Strauss sont joués sans complexe aux côtés des mélodies de Claude François, de Charles Trenet ou West Side Story. Porté par la grâce de deux superbes voix et d’un pianiste inspiré, ce spectacle rythmé, très drôle et touchant, s’adresse autant aux connaisseurs qu’aux néophytes ».
LE PARISIEN
Duo d’amour et d’humour
« Lorsqu’une Diva célèbre et fraîchement veuve fait la connaissance d’un toréador auréolé de gloire, la suite peut se révéler savoureuse, surtout quand l’amour s’en mêle avec coup de foudre immédiat. Dans une mise en scène pleine de trouvailles, ce spectacle truffé de rebondissements et de quiproquos réserve quelques passes succulentes entre ces deux artistes bourrés de talent et d’imagination. Une manière iconoclaste d’aborder le classique : un petit bijou ! ».
LE PROGRÈS
La vie dissolue d’une diva et d’un toréador
« Toujours légère et drôle, cette fantaisie lyrique servie par d’innombrables traits d’humour et jouée par d’excellents interprètes est un petit bijou de modestie tant l’humour omniprésent fait oublier les difficultés bien réelles d’une mise en scène exigeante et d’un répertoire aux contraintes techniques de haut niveau. (…). Le récit fait ici l’objet d’une narration extrêmement vive, portée et illustrée par des choix musicaux toujours à propos. La mise en scène signée Raphaëlle Farman et Jacques Gay, déborde de tonus et de vitalité. C’est drôle, vivant et rapide. Il n’y a ni temps mort, ni point faible. Le rythme général va crescendo pour exploser dans un final cocasse et inattendu ».
LE FIGAROSCOPE
Comédie musicale
« Entre eux, le coup de foudre est immédiat… et celui du public pour ces deux artistes ne l’est pas moins. Il faut dire que Raphaëlle Farman et Jacques Gay possèdent un étonnant registre qui leur permet de passer de Carmen à West Side Story ou La Traviata avec une étonnante facilité. Le tout épicé de gags et de parodies désopilantes. Un pur divertissement avec des chanteurs talentueux qui jouent à fond la carte de la dérision. Spectacle capable de contenter le grand public autant que les mélomanes avertis. L’occasion rêvée de vivre un fin d ‘année étourdissante ».
PARU VENDU
Quand l’opéra fait rire
« C’est un spectacle de qualité, unique en son genre, qui nous est proposé en ce moment dans ce charmant petit théâtre de Montparnasse. Un très agréable voyage musical à travers les plus belles pages de l’opéra, de l’opérette et de la comédie musicale ».
LE JOURNAL DU DIMANCHE
Au théâtre, ce soir
« Conçu et interprétée avec brio par Raphaëlle Farman et Jacques Gay, avec la complicité de Fabrice Coccitto au piano et sur une chorégraphie de Bernard Pisani, cette fantaisie lyrique est un vrai moment de bonheur ».
Raphaëlle Farman dans la Presse
Le figaro
Le Triomphe de Raphaëlle Farman… Mais la grande révélation, ce fut pour moi, la présence de Raphaëlle Farman. Cette jeune cantatrice possède un art du chant extraordinaire, un legato impressionnant et une manière imparable de détacher les notes dans les vocalises… .
Opéra magazine
De sa voix veloutée, Raphaëlle Farman lance des aigus qui s’envolent comme des oiseaux pour le plus grand bonheur d’un public habitué aux plus grandes voix.
Time
One woman show. The success of the Chelsea Opera concert performance was primarily due to the full-blooded account of the title role by another star in the making, the french soprano Raphaëlle Farman…
Financial Times
Raphaëlle Farman is a magnificent Thérèse full of vocal warmth and expression.
Jacques Gay dans la Presse
Libération
Jacques Gay campe un Signor Bruschino remarquable de présence et de finesse, avec une autorité vocale impressionnante. Tantôt capricieux, tantôt autoritaire ou lâche, son sens de la comédie est dans la lignée des grands comiques italiens de l’après guerre tels Alberto Sordi ou Toto.
Le figaro
La suprématie vocale du baryton Jacques Gay dans le rôle d’Escamillo est évidente. Son timbre noir et son insolence dans l’aigu en font un rival de Don José très impressionnant tant vocalement que scéniquement.
Opéra magazine
Tosca est troublée par un Scarpia très ambigu, superbement interprété par Jacques Gay qui campe un chef de la police plus subtil que de coutume.